
L’impact de la crise énergétique est souvent plus faible que prévu
Sur base des transactions bancaires de 930.000 ménages belges, il s’avère que la facture énergétique a beaucoup moins augmenté durant la crise énergétique que ne le suggèrent les statistiques officielles. Ceci a été démontré par une étude de l’Université de Gand.
Pour près de 50% des ménages, la facture était même moins élevée en 2022 (l’année de crise) qu’en 2021. Ceci peut s’expliquer par 3 effets: les statistiques officielles ne tiennent compte que des tarifs des nouveaux contrats énergétiques (fixes ou variables), tandis qu’une majorité des ménages disposait (dispose) d’un contrat à tarif fixe datant d’avant la crise. Par ailleurs, les chiffres officiels sont basés sur les volumes de consommation datant d’avant la pandémie du coronavirus, tandis que la consommation a baissé en pratique. Finalement, il y a une différence parce que certaines formes de soutien public sont étalées dans le temps dans les statistiques, tandis qu’en réalité, les ménages ont déjà pu en bénéficier pleinement.
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